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Veillée Pascale - Après la confirmation

Baptême lors de la veillée Pascale

Les nouveaux baptisés

Adoration à l'occasion du dimanche de la Miséricorde

Concert de la chorale saint-michel

La chorale St Michel vous invite à son concert le dimanche 14 mai à 17h00 en son église st-Michel. 

Au programme 5 extraits du Gloria de Vivaldi pour chœur, soliste, orgue et instruments, et d’autres œuvres chorales connues ou à découvrir." 

Prière pour la vie 

Samedi 6 mai à 15h00
Cathédrale st Bénigne à l’autel de la Vierge 

Concert ‘Alla Napoletana’
par la Maîtrise de la cathédrale de Dijon

samedi 6 mai à 20h00
à l’église saint-Michel 

Que vos cœurs sont lents à croire 

Souvent la tentation est grande d'utiliser l'autre, notre proche, notre voisin, tel ou tel ami pour se placer soi-même ou encore ‘pistonner’ quelqu'un qui nous est cher. ‘Jouer du piston’ est une pratique courante qui va, hélas, avec l'esprit de ce ‘monde’. L'Évangile des pèlerins d’Emmaüs nous montre le visage déconfit de deux hommes pleurant celui qu'ils avaient suivi sur les routes de Galilée. Jésus était mort, alors qu’eux rêvaient qu’il serait le libérateur d'Israël ; ils sont profondément déçus : ils ne pourraient plus utiliser ce Jésus pour servir leurs rêves et leurs ambitions. Ils sont passés allègrement à côté de la Bonne Nouvelle qui leur était annoncée. Leur rêve était d'être du côté du puissant, du côté du libérateur d'Israël, dans l'espoir, peut-être, d'être, d'une certaine façon, ‘pistonnés’. Ils viennent de quitter Jérusalem pour rentrer à Emmaüs et n'ont plus d'autre avenir que de revenir à la case départ : un retour chez eux, un retour en arrière. Mais sur la route, la rencontre étonnante qu'ils font les amènent à un retour sur eux-mêmes, à une véritable conversion. 

Vous n'avez rien compris leur lance l'inconnu qui les rejoint en chemin avant d'ouvrir avec eux les Écritures. Leurs yeux aveuglés s'ouvrent, leurs cœurs sont brûlants. Au partage du pain et de la parole, ils reconnaissent celui qui fait route.

25 avril : saint marc 

Marc est un Juif du 1er siècle qui serait né en Cyrénaïque, la Libye actuelle. Proche des apôtres Pierre et Paul, il est mentionné dans les Actes des Apôtres et différentes épîtres où il est désigné comme Jean surnommé Marc ou Jean-Marc. 

Il semble que Marc est le fils de Jonas et d'une certaine Marie, disciple judéo-chrétienne de Pierre (Ac 12, 12), appartenant à la communauté de Jérusalem. Il serait cousin de Barnabé accompagnant celui-ci et Paul de Tarse jusqu'à la rupture des deux hommes (Ac 15, 37-39). Il est encore mentionné comme collaborateur de Paul dans les épîtres à Timothée et à Philémon (Phm 24). Pierre salue Marc comme son fils (1P 5, 13). Marc retrouve probablement Paul alors prisonnier à Rome. Selon la tradition chrétienne, il quitte l'Italie pour l’Égypte où il fonde l'Église d'Alexandrie. 

D'après Eusèbe, il y demeure jusqu'en 62. Il serait mort martyr un 25 avril dans les années 68-75. Après avoir été embaumées, ses reliques auraient été conservées dans une chapelle du petit port de pêche de Bucoles proche d'Alexandrie où il a été exécuté. Plus tard, deux marchands vénitiens ramènent en contrebande les reliques du saint à Venise. 

1 er mai : saint joseph 

Avec un cœur de père : C’est ainsi que Joseph a aimé Jésus, qui est appelé dans les quatre Évangiles le fils de Joseph.
Les deux évangélistes qui ont mis en relief sa figure, Matthieu et Luc, racontent peu, mais bien suffisamment pour le faire comprendre, quel genre de père il a été et quelle mission lui a confiée la Providence.
Nous savons qu’il était un humble charpentier (Mt 13, 55), promis en mariage à Marie (Mt 1, 18; Lc 1, 27) ; un homme juste (Mt 1, 19), toujours prêt à accomplir la volonté de Dieu manifestée dans sa Loi (Lc 2, 22.27.39), et à travers quatre songes (Mt 1, 20 ; 2, 13.19.22). Après un long et fatiguant voyage de Nazareth à Bethléem, il vit naître le Messie dans une étable, parce qu’ailleurs il n’y avait pas de place pour eux (Lc 2, 7). Il fut témoin de l’adoration des bergers (Lc 2, 8-20) et des Mages (Mt 2, 1-12) qui représentaient respectivement le peuple d’Israël et les peuples païens. 

Il eut le courage d’assumer la paternité légale de Jésus à qui il donna le nom révélé par l’ange : Tu lui donneras le nom de Jésus, car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés (Mt 1, 21). Le 8 décembre 1870, le pape Pie IX le déclare Patron de l’Église Catholique. 

Pape François 

suivre le bon berger 

Le décor est planté : évasion assurée, direction la montagne ! L'évangile que la liturgie nous propose, en cette Journée mondiale de prière pour les vocations, nous pousse au large et nous ouvre grand la porte de la bergerie. 

Un évangile qui nous parle surtout du métier et du travail de berger. Toute la vie du berger est tournée vers son troupeau. Pas besoin d’avoir été berger pour découvrir que nous avons tous à le suivre, lui, le bon berger ! c’est-à-dire à être témoins, à répondre à la mission que nous confie Jésus Christ. Mais pour cela, il nous faut sortir de nous-mêmes pour passer la porte, une porte qui nous ouvre sur la vie en abondance, une porte qui n'est autre que le Christ lui-même. Il s'agit pour nous tous de répondre à cet appel de Dieu, à notre vocation. 

Soyons donc une Église priante et appelante pour que nos communautés chrétiennes aient les pasteurs qui aideront chacun d'entre nous à passer cette Porte qui s'ouvre sur la vie en abondance. C'est à la mesure de notre dynamisme que nous pourrons ainsi stopper tous les brigands qui nous emmènent sur la voie du pessimisme et du découragement !